lundi 9 juillet 2012

Osprey Manta 30

Achat 2010

Initialement acheté pour l'anniversaire d'Isa, il tombe rapidement dans mon escarcelle. En effet le dos ne lui convient pas.
Voilà donc deux ans que ce sac me sert pour toutes mes activités montagne à la journée voire même deux jours light: à pied (un tout petit peu), à ski et surtout à vélo.

Osprey Manta 30

 

Configuration

  • Une grande poche centrale.
  • Un compartiment pour la poche à eau bien rigidifié, le portage du sac n'est pas modifié en fonction du remplissage de celle-ci.
  • Une poche frontale munie de sangles de compression. On peut glisser le casque/pelle à neige entre celle-ci et la poche principale.
  • Quelques poches annexes, sur la ventrale, sur les côtés ou le dessus.
  • Une housse de pluie dans un petit compartiment sous le sac.

A l'usage

Parmi les accessoires de très bonne facture, je retiendrai principalement la poche à eau, de grande contenance (3L), et pleine de bonnes idées telles que la poignée ou le fond rigidifié qui permet de l'enfiler sans difficulté dans le compartiment prévu à cet effet, même quand le sac est bien plein (qui n'a jamais galéré à essayer de faire rentrer une poche à eau tout molle dans un sac trop plein...). Un bon point aussi pour la valve, offrant un bon débit, facile à démonter et laver.
Poche à eau

La bonne surprise de ce sac aura été sa polyvalence. L'usage en ski de rando est tout à fait possible, la disposition des sangles de compression leur permettant tout à fait de faire office de sangle de portage. Le seul risque en cas de portage est d'abimer la toile du sac avec les carres. La pelle à neige quant à elle (un grand modèle en métal) rentre sans problème sur l'avant du sac.
En ski de rando ça le fait aussi!
Dans son usage principal, il remplit parfaitement ses fonctions et en dépit de son tissu à première vue assez fin, il ne présente pas de trace d'usure prématurée, en dépit de portage régulier et donc d'un contact répété avec chaine, dent de pédalier ou picots de pédale... d'ailleurs dans cette activité peu réjouissante mais indissociable de la pratique du VTT en montagne, il est plutôt à son aise, offrant un surface d'appui assez confortable.
De la place à revendre pour les sorties à la journée, mais la possibilité de réduire le volume à l'aide des sangles de compression évite que ça ballote. Quelques sorties avec nuits en refuge voir en bivouac plus tard, il y a suffisamment de place pour les affaires.
Les seuls éléments présentant des signes de faiblesse sont les passants permettant de maintenir le tuyau de la poche à eau dont les élastiques ne remplissent plus leur office. Les passants restant cependant opérationnels.

A la montée
A la descente
Enfin, si la gamme Manta présente plusieurs volumes, elle propose aussi deux tailles afin de s'adapter aux différentes morphologies. Il faut faire attention lors de votre achat car la plage de réglage, en particulier de la ceinture ventrale, est assez réduite.
En terme de poids, compte tenu du volume disponible, il n'est pas spécialement léger, en dépit de matériaux assez légers mais l'accessoirisation assez importante du sac lui font passer au dessus du kg sans poche à eau.

En conclusion

Aucun regret aujourd'hui à cet achat qui ne m'était pas destiné en premier lieu. Un sac suffisamment grand pour 80% de ma pratique sportive.

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